Les différents types de fabrications

Boîtage de parfum de luxe, pack de regroupement des yaourts, boîte pâtissière, étui pharmaceutique, le cartonnage pliant pénètre quotidiennement l’univers du consommateur.

Ses qualités industrielles, pratiques et créatives ont conquis tous les secteurs. Léger et valorisant, il met en avant les marques, valorise les produits, signale les promotions, renseigne le consommateur, renforce sa sécurité (DLC, composition des produits, conseils d’utilisation,…) et emballe efficacement, en grande consommation comme en vente au détail.

Aussi discret à plat qu’attrayant en volume

Cartonnage pliantLivré à plat chez le conditionneur, le cartonnage pliant est l’emballage gain de place par excellence : un vrai atout économique et écologique en matière de stockage et de transport ! Mis en volume, il se prête à toutes les déclinaisons possibles autour du parallélépipède et s’adapte en beauté au produit qu’il emballe et valorise, sans oublier de le protéger efficacement. Car malgré sa légèreté, il n’est pas dépourvu de robustesse, comme le prouvent les étuis pour packs de bière.

Un vrai champion de la communication

cartonnage pliantPrenez un carton compact, de bonne texture fibreuse, dont une face est noble : toutes les impressions sont permises, tous les décors et les messages sont possibles. Et comme les constructions géométriques et les formes sont multiples, l’emballage en carton pliant s’est imposé comme support de l’identité de la marque et outil essentiel de la communication du produit sur le lieu de vente, sans oublier sa mission informative. Fonctionnel, valorisant, jamais à court d’idées, rares sont les produits qui ne l’ont pas adopté!

Adapté aux grandes comme aux petites séries

Cartonnage pliantLe cartonnage pliant s’impose comme la solution logique au conditionnement des produits de grande consommation. D’abord par ses outils de production hautement performants et ses technologies adaptées aux demandes les plus ouvertes, mais surtout parce qu’il est mécanisable : les opérations de mise en volume, de remplissage, de fermeture, de regroupage et de codage des produits sont automatisées, pour une mise en œuvre rapide et rationnelle. La performance des moyens de production les rend tout aussi adaptés aux séries courtes.

Un savoir-faire de référence

Les professionnels du secteur ont su partager leurs connaissances en publiant des documents fondateurs :

  • le Code ECMA (Association Européenne des Fabricants de Cartonnage Pliant), nomenclature logistique et normalisée recensant plus d’une centaine de productions différentes et permettant l’attribution d’un code universel ;
  • le Dictionnaire ECMA des cartonnages pliants, édité en quatre langues, définissant un glossaire des termes de métiers les plus courants ;
  • le Guide pratique d’éco-conception publié pour la première fois en 2006 par Pro Carton (Association européenne de promotion de la boîte pliante), en partenariat avec l’Ademe.

Le carton : un véritable biomatériau

Le carton est issu d’une ressource naturelle renouvelable : la fibre de cellulose. Cette matière première possède une formidable aptitude au recyclage, ce qui a permis à la filière de s’engager très tôt dans une gestion responsable de la ressource : gestion durable de la forêt, collecte et recyclage des emballages usagés, réutilisation de la fibre. Aujourd’hui, plus de 9 emballages sur 10 sont recyclés, soit un taux de recyclage exceptionnel de plus de 93 %.
Parallèlement, la filière papier carton est fortement impliquée dans la recherche de l’amélioration de la recyclabilité et dans la démarche d’éco-conception des emballages.

Il est à la fois le champion de la manutention, le garant du transport et le support séduisant de produits ou de publicités sur le lieu de vente. Le cartonnage en ondulé a vraiment l’esprit pratique ! Il sait s’adapter à une telle diversité d’usages qu’il est le matériau numéro 1 de l’emballage

La rigidité du carton ondulé lui donne sa robustesse

Matériau sandwich, le carton ondulé est constitué de l’assemblage par encollage de papiers de couverture plane maintenus à équidistance par des papiers de cannelure de forme ondulée. Le carton ondulé offre une grande rigidité et se prête à toutes sortes de façonnages. Souvenez-vous… Certains designers ont même créé des meubles en carton ondulé !

Le Carton OnduléLe cartonnage en ondulé est réellement multi-fonctions :

  • regroupement des produits,
  • protection contre les chocs, les vibrations, la lumière, la poussière, le vol, identification,
  • présentation et promotion par l’utilisation de ses faces comme support d’information et média publicitaire.

Ces multiples fonctionnalités et son adaptabilité à toutes formes de façonnage l’ont rendu indispensable à toutes les opérations de manutention, de transport et de stockage, mais en ont fait aussi un allié de choix pour la présentation des produits en magasin.

Un excellent rapport qualité-prix

Le cartonnage en ondulé s’adapte à toutes les situations, c’est prouvé ! De la caisse de déménagement à l’emballage de meubles en kit en passant par le conditionnement d’objets en verre ou électronique de haute technologie, il répond aux besoins avec efficacité et à moindre coût, même en sur-mesure. Les secteurs du transport et de la distribution l’ont élu de longue date (il est plus que centenaire !) pour son excellent rapport coût / qualités pratiques.

À l’écoute du marché, il n’en finit pas d’inventer ...

Le cartonnage en ondulé a su progresser pour répondre à de plus en plus de besoins, notamment sur le plan technique, avec des traitements spéciaux, une mise en œuvre mécanisée, etc. Déjà connu pour être un excellent support d’impression, il offre aujourd’hui dans ce domaine des possibilités de plus en plus larges et sophistiquées : les secteurs du marketing et du merchandising peuvent compter sur lui pour allier créativité et technicité, comme le prouve l’inventivité sans limite des PLV en carton ondulé.

Le carton : un véritable biomatériau

Le carton est issu d’une ressource naturelle renouvelable : la fibre de cellulose. Cette matière première possède une formidable aptitude au recyclage, ce qui a permis à la filière de s’engager très tôt dans une gestion responsable de la ressource : gestion durable de la forêt, collecte et recyclage des emballages usagés, réutilisation de la fibre. Aujourd’hui, plus de 9 emballages sur 10 sont recyclés, soit un taux de recyclage exceptionnel de plus de 93 %. Parallèlement, la filière papier carton est fortement impliquée dans la recherche de l’amélioration de la recyclabilité et dans la démarche d’éco-conception des emballages.

Quand le carton s’habille de papier façonné, de tissu, de cuir et forme un écrin de prestige… Le cartonnage recouvert offre une infinité de possibles, avec pour seul dénominateur commun une présentation haut de gamme du produit qui ferait presque oublier sa fonction très protectrice et ses nombreux atouts, au premier rang desquels sa rapidité de mise en fabrication.

Luxueux par vocation

Cartonnage RecouvertBeaux et protecteurs à la fois, les cartonnages recouverts sont revêtus d’un habillage et toujours livrés en volume, prêts à l’emploi. Leur grande rigidité assure la totale protection des produits qu’ils contiennent. Mais leur valeur ajoutée réside surtout dans leur capacité à mettre en scène leur contenu : les designers rivalisent d’imagination et puisent dans l’infinie variété des formes, des couleurs, des matériaux et des fonctions, créant des emballages d’exception pour des produits d’exception.

Multi-matériaux par définition

Cartonnage RecouvertLe cartonnage recouvert utilise un très grand nombre de matériaux différents, outre le carton plat. Pour l’habillage, selon l’effet voulu : papier, tissu, cuir, imitation cuir, complexes plastiques, etc. Mais aussi pour la structure – bois, plastique, polystyrène expansé, métal – et le calage – plastique thermoformé, mousse alvéolaire, avec ou sans habillage de satin, etc. –. Tous ces matériaux sont assemblés avec une extrême précision.

Technicité et automatisation

La complexité des formes et la multiplicité des matériaux supposent un grand nombre d’opérations – jusqu’à 200 répertoriées ! – pour fabriquer chaque emballage. L’ensemble du processus est aujourd’hui très automatisé, qu’il s’agisse de l’assemblage, du contre-collage, de la pose des calages, des décors par transfert à chaud ou gaufrage. Les cartonniers ont pour la plupart mis au point leurs propres machines spéciales, les équipant de micro-processeurs et d’automates programmables, voire de robotique. Ces moyens de production performants, alliés à un savoir-faire pointu, permettent une fabrication rapide et beaucoup de souplesse, notamment pour traiter les petites séries.

Le carton : un véritable biomatériau

Le carton est issu d’une ressource naturelle renouvelable : la fibre de cellulose. Cette matière première possède une formidable aptitude au recyclage, ce qui a permis à la filière de s’engager très tôt dans une gestion responsable de la ressource : gestion durable de la forêt, collecte et recyclage des emballages usagés, réutilisation de la fibre. Aujourd’hui, plus de 9 emballages sur 10 sont recyclés, soit un taux de recyclage exceptionnel de plus de 93 %. Parallèlement, la filière papier carton est fortement impliquée dans la recherche de l’amélioration de la recyclabilité et dans la démarche d’éco-conception des emballages.

Quelle est la différence entre une salière de table en carton et le support d’un rouleau de papier cadeau ou de moquette ? Hormis ses dimensions et son épaisseur, aucune : dans tous les cas, c’est un tube en carton. Et ce n’est qu’un petit aperçu, technicité dont sait faire preuve ce produit plein de ressources !

Aussi discret à plat qu’attrayant en volume

Tube en cartonLivré à plat chez le conditionneur, le cartonnage pliant est l’emballage gain de place par excellence : un vrai atout économique et écologique en matière de stockage et de transport ! Mis en volume, il se prête à toutes les déclinaisons possibles autour du parallélépipède et s’adapte en beauté au produit qu’il emballe et valorise, sans oublier de le protéger efficacement. Car malgré sa légèreté, il n’est pas dépourvu de robustesse, comme le prouvent les étuis pour packs de bière.

Un produit, des usages multiples

Tube en cartonDevenu au fil des ans un produit à forte composante technologique, le tube en carton peut être combiné avec de nombreux complexes intérieurs ou extérieurs : traitements spéciaux, imperméabilité, habillage extérieur sophistiqué… Ensuite, tout est affaire de diamètre, d’épaisseur, de longueur, de concentricité, de rectitude et de systèmes de fermeture. La polyvalence du tuatout pour des utilisations toujours plus créatives !

Mandrins : le tube est support de bobinage

Les mandrins sont essentiellement utilisés comme support de bobinage par les producteurs et transformateurs de produits en feuille : papier, carton, films plastique, aluminium, tissus et moquettes. Ils sont également utilisés pour bobiner les fils textiles. La plupart de ces applications industrielles exigent des performances mécaniques élevées.

Tubes de coffrage

Le tube sert de moule de coffrage pour la réalisation de colonnes en béton de section ronde ou carrée

Le carton : un véritable biomatériau

Le carton est issu d’une ressource naturelle renouvelable : la fibre de cellulose. Cette matière première possède une formidable aptitude au recyclage, ce qui a permis à la filière de s’engager très tôt dans une gestion responsable de la ressource : gestion durable de la forêt, collecte et recyclage des emballages usagés, réutilisation de la fibre. Aujourd’hui, plus de 9 emballages sur 10 sont recyclés, soit un taux de recyclage exceptionnel de plus de 93 %. Parallèlement, la filière papier carton est fortement impliquée dans la recherche de l’amélioration de la recyclabilité et dans la démarche d’éco-conception des emballages.

Enveloppes

Les produits entrant dans la catégorie sont :

Enveloppes

  • les enveloppes ordinaires où la patte de fermeture est sur le grand côté ;
  • les pochettes où la patte de fermeture est sur le petit côté ; 
  • et les pochettes à soufflets.

Ces produits peuvent être avec ou sans fenêtre. Le grammage détermine la résistance de l’enveloppe. Les valeurs de grammages courants sont les suivantes : 64 g/m², 70 g/m², 80 g/m², 90 g/m² et 120 g/m².

Brochures (registres – cahiers – agendas)

Brochures (registres – cahiers – agendas)

Le brochage est l’ensemble des opérations que l'on fait subir à des feuilles imprimées pour leur donner l’aspect d’un livre. Les feuilles sont pliées en cahiers assemblés et cousus ou collés de telle manière que les pages soient facilement accessibles à la lecture. Elles forment un ensemble compact sur lequel vient s'ajouter une couverture, souple ou rigide, destinée à parer la brochure et à la protéger.
Les cahiers sont l’unité de base dans la constitution d’une brochure : ils sont formés à partir d’une feuille imprimée pliée en 8, 16 ou 32.
Les liasses assemblées et solidarisées entre elles pour former des piqûres, des registres ou des blocs, entrent dans cette catégorie.

Articles de Classement

Articles de Classement

Nous distinguons différentes catégories de produits de classement, avec pour chacune d’entre elles, leurs particularités de fabrication à prendre en compte pour le choix d’équipement.

1. Pour les classeurs à levier, classeurs à anneaux pour feuillets mobiles, classeurs pour listing, sont à prendre en considération :

  • l'épaisseur et la qualité du carton ; (densité de compression du carton) ;
  • la qualité de la mécanique et des œillets : acier lisse, nickelé, mécanisme à ouverture automatique ou fractionnée, avec ou sans compresseur (pour les classeurs à levier) ;
  • les anneaux des mécaniques : ils peuvent être au nombre de deux, quatre, six et multiples, de forme ronde, en D ou en U, positionné sur le dos ou sur la troisième de couverture.
  • les couvertures des classeurs : elles peuvent être en différents types de matière (PVC, polypropène, balacron, papier verni.
  • la largeur des « plats » de classeur : c’est-à-dire la taille hors tout, peut également être un critère de choix en cas de classement de pochettes ou d’intercalaires de grande taille.

2. La chemise se définit comme une protection plus ou moins épaisse et élaborée permettant de contenir des feuillets, de les protéger et de les classer Dans ce type de produits, on trouve fréquemment l’équivalent en produits manufacturés à partir de la filière des matières recyclées. Le choix des produits en papier peut prendre en compte les critères suivants :

  • l’origine de la fibre, recyclée ou neuve ;
  • l’épaisseur de la carte en gramme, au mètre carré et en millimètre ;
  • la main de la carte (rapport entre épaisseur et grammage) ;
  • le satinage du papier ou de la carte ;
  • la rigidité et l'imprimabilité.
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